mardi 27 septembre 2011

Cette semaine, je craque pour…

La coquetterie express!

C'est officiel, je ne prends toujours pas de vacances cette année. Boulot oblige... Que voulez-vous. Je l'aime mon travail, ce n'est pas de ma faute. J'ai cette fâcheuse habitude de ne pas être capable de dire non. Par contre, c'est décidé, le bénévolat ou des projets sans budget, c'est terminé.

Stéphanie répond: Nouiiiiiiiiiiii!


Vous pouvez comprendre que j'ai encore de la difficulté à dire non. Donc, au final, je suis toujours aussi occupé et mon agenda est toujours aussi surchargé: Les tournages de Rêves d'acteurs, deux nouvelles séries web dont le Corps à ses raisons et Nigth.tv, de la démo pour Cover Fx, Pharmaprix Guy/ Saint-Catherine, ma soeur qui revient au bercail, l'homme qui habite à 275 km de chez moi et, bien sûr et j'en passe. Ouf!!!

Donc, il m'arrive très souvent de prioriser les heures de sommeil au détriment d'un beau maquillage impeccable. Mais, une maquilleuse sans poudres ni fards, il me semble qu'il y a un manque de crédibilité. Non!?

Métier oblige, faute de temps, je me maquille la majeure partie de mon temps dans ma voiture entre une gorgée de café, une cigarette et un embouteillage. Alors, voilà pourquoi je craque pour la coquetterie express de Lili Rouge. La créatrice de la gamme, Élizabeth Allarie, a bien compris le besoin de plusieurs femmes. Des produits simples, rapides et efficaces pour arriver à déjouer notre rythme de vie effrénée. Vous pouvez maintenant choisir entre un gloss, une ombre à paupière crème ou un correcteur et le combiner à un emboue double pour en faire qu'un seul produit unique.  Ceci a pour effet de rendre votre maquillage pratico-pratique et permet de le transporter plus facilement dans votre joli sac à main. Parfait pour les retouches ou les maquillages complet en voiture.


Les fards à paupière crème sont tout simplement génial: naturels, passe-partout et faciles d'applications. Ils sont ultra-pigmentés et résistant à l'eau. Leur promesse: tenir du petit matin jusqu'au 5 à 7 en soirée. Vous ne pourrez plus vous en passer.


Oupsy! Pas facile de se mettre du gloss et d'écrire un article. Vous me déconcentrez. Entre deux gorgées de café, direction: boulot!

mercredi 21 septembre 2011

Les confessions d’une Beauty Junky:

Saison #1:  Une Montréalaise à Québec

Je sais… Je sais… On aime tellement les histoires de célibataires un peu frivole. Maintenant, exit les chroniques d’une fraîchement divorcée! Optons pour une note plus positive et changeons le concept cette fois-ci. Comme je suis souvent mandaté à poursuivre ma mission sur les autoroutes qui mènent sur le chemin de notre belle capitale, je dois m’adapter à mon nouveau statut : Une Montréalaise à Québec.


Ce qui est intéressant de faire de la grande route, c’est que tu ne peux jamais mettre ton cerveau en mode arrêt. Et à force de fréquenter Monsieur X, je me suis découvert plusieurs déficiences. Alors, voici ma première confession du jour :  I’m a chicken... shit!


Je vous dis, Alanis Morissette à probablement écrit cette chanson en pensant à moi. J’en suis sur!

À force d’intégrer l’homme dans mon horaire, je vois la vie en rousse... eee... en rose, les papillons volent, les oiseaux font « cui, cui » (...) arc-en-ciel, "Calinours" et tout le tralala. Est-ce vraiment le sujet de ma confession du jour? Non! Mais, quelquefois les choses se corsent quand je suis en sa présence. Je m’arme de mon super « shield » sorte de "méga" protection que je me suis forgé avec le temps et les souffrances. 


J’ai tellement un problème d’estime. Je croyais que ceci provenait de ma dernière relation qui se résume à : Montagne-russe/ justifications/ discorde-raccorde. J’avais tellement l’impression d’être beige ou complètement transparente et je n’avais aucune place pour montrer mes vrais couleurs.

À force de travail, il faut que je me rends à l’évidence, cela provient de bien plus loin! Bon... Je dérape encore. Revenons à mon super « shield ». C’est la plus grosse défense que je me suis bâtis afin de ne plus avoir mal. Du moins, c’est ce que je crois. Je peux recevoir le plus beau compliment et je finis toujours par le casser.

Note à moi-même : « Mais là Stef, si c’est lui l’homme de ta vie comme tu le prétends si bien, à force de la casser, tu t’arranges tout simplement pour te tirer une balle dans le pied avec ton manque de laisser-aller! »


Alors, voilà comment mon aventure chez Renaud Bray a, tout simplement, commencé.  Direction : rayon de la psycho pop. Yay! J’ai découverts des petits cahiers d’activités sur un million de sujets, genre cahier canada comme quand nous étions en première année. Je me sens comme une gamine à la rentrée scolaire devant tout ce choix : petit cahier sur l’estime de soi, petit cahier pour voir la vie en rose, petit cahier pour en finir avec toutes ces choses inutiles, etc. Bref, j'essaie de remédier à la situation. Ce n'est pas vrai que je vais me planter cette fois-ci!

Mais vous savez, la notion d’estime de soi ne tiens pas seulement à ce qu’il y a entre nos deux oreilles... Il s’agit aussi d’une histoire d’acceptation corporelle. Pour être honnête, j’accepte chaque facettes de ma personnalité, car je peux les travailler. Avec le temps, j’accepte chaque côtés de mon physique, mes courbes, mes jambes, mes pieds et même mes vergetures, car je ne peux les changer. Faut bien vivre avec... Il y a par contre, une toute petite chose qui m’embête depuis tellement longtemps. Je ne sais pas si je vais avoir vos bonnes grâces, mais j’assume. Je ne vois que ça! Mes foutus rides d’expressions dans le front. J’ai un toupet depuis que j'ai 22 ans afin de les camoufler. Bref, je suis tellement expressive que cela à même laisser des traces. Ma mère a le front plus lisse que moi. Merde! 

Alors, je me confesse. Mea culpa.

Imaginez comment j’ai réagi devant le forfait de Montréal par vie urbaine : Offre limitée, clinique Image, rabais de 50%, 119$ pour 20 doses de Botox. Comme une hystérique qui n’a pas pris de vacances depuis deux en et demi et qui a beaucoup trop travaillée cet été.



Clic!

Clic!

C’était acheté. Je voulais mon rendez-vous le lendemain tellement j’étais énervé et ce, même si la clinique est située au 1725 chemin Gascon à Terrebonne. J'étais prête à tout, mais je devais prendre mon mal en patience, car il n’y avait que de la disponibilité la semaine suivante. C’est long attendre! Donc, voici ma dernière confession: c’est probable que je vais devenir complètement accro de l’homme. Erreur : déjà fait! Sans blague, c’est naturelle, les gens de mon entourage n’y ont vu que du feu. Il faut dire que j’avais bien garder le secret. Donc, voilà, je vais probablement être une junky finie, que ça vous plaise ou non!

jeudi 15 septembre 2011

3-Days straight Jonh Frida



3 Days straigth, mon (…) oeil!
Fraisinette doit se résigner. Au moins, j’ai essayé! Je crois qu’il n’y a rien à faire: Je suis née frisée, je vais mourir frisée. C'est comme recevoir une lettre de son "ex" qui dit vouloir tout faire pour te reconquérir, mais qui fait absolument rien...


JF, tu es menteur!!! JF pour Jonh Frida  bien sûr!!!

lundi 5 septembre 2011

Les chroniques d’une fraîchement divorcée : épisode 4

Opération transformation, prise 2.


Depuis peu, je mène une double vie, partagé entre l’autoroute 40 et la 20. Armé de mes plus grosses lunettes soleil, afin que je puisse passer complètement incognito, je sillonne la route entre Montréal et Québec. Ma mission : trouver Monsieur X. Pourtant, je croyais que c’était déjà fait?  

Effectivement! Je savais très bien que le monsieur n’habitait plus le coin depuis quelques temps. En vrai Colombo, j’ai plusieurs espions qui travaillent pour moi un peu partout dans la région. Ce qui fût tout de même facile de retracer l’homme sans avoir recours au relevé d’empreintes digitales ou au travail d’un détective privé. Mais vous savez très bien que toute cette histoire se passe dans ma tête, hein!? Ahhhhh!!! La vie en blonde...

Bref, sans blague, depuis quelques semaines, j’apprécie davantage la compagnie du monsieur en question et je découvre les joies d’une relation à distance. Comme j’essaie de moins en moins d’être une « fifille » hormonale en vieillissant, je trouve donc vraiment sympathique de pouvoir garder pleinement mon indépendance durant la semaine et de vivre intensément chaque moment en sa compagnie.

Comme cela ne faisait pas partie du plan de rencontrer quelqu’un cet été, je me suis "garoché" dans le travail et j’ai opté pour la continuité de la vie en blonde. Il faut spécifier que j’ai aussi succomber aux caprices de ma meilleure amie qui voulait absolument avoir les Charlie’s Angels comme demoiselle d’honneur et de surcroît, qu’il fallait absolument une petite blondinette parmi elles. Mais bon, comme septembre est à nos portes, et comme je l’expliquais la semaine dernière, j’ai envie de tous changer.

Alors, la question que je me pose déjà depuis quelques semaines : « Blondes have more fun!? »


Testons l’option contraire, direction: Coiffure le Club au 198 rue Notre-Dame à l’Assomption. Je vous l’accorde, c’est un peu loin, mais l’atmosphère est vraiment géniale. Ils ont les meilleurs prix en ville et la spécialiste des extensions y travail.

Qu’est-ce que j’ai envie de tester? Le retour en brunette "Goddess" ou en rouquine pétillante? Les deux options sont vraiment intéressantes. Quoi faire?

Je discute un moment avec Judy Delisle, ma coiffeuse de longue date, mais aussi ma meilleure amie, afin de vérifier toutes les possibilités qui s’offrent à moi et afin que je sois prête pour Vendredi. Vendredi!? Eh oui! J’ai probablement rendez-vous avec l’homme et je veux être à mon meilleur. Maudite « fifille »! J’ai dit, j'essaye de ne pas être hormonal. Je reste une fille, quand même. J’avais même préparé une photo de magazine et une liste de « je peux et je veux avoir des extensions ». Un « front page » de magazine, Stéphanie, soit réaliste!

Ma « kéfeuse » veux toujours que je fasse excessivement attention à mes cheveux fragiles alors, je dois toujours me préparer des arguments en bétons pour tout éventuelle changement capillaire. J’ai quand même réussis ma mission, je les eu à l’usure! Mouhahahaha (rire diabolique, juste pour toi Judy)

C'est décidé! Je vais me transformer en brunette piquante!

Phase 1 : Opération coloration


On regarde le "mèchier" couleur par couleur pour trouver « celle » qui correspondra à mon changement final. On opte alors pour un niveau 6. En français, il s’agit d’un châtain chaud avec des reflets cuivrés. Yay! Ma transformation est amorcée. Psiiiit! Comme je vous disais, cela vaut le détour : Une pré-coloration et une coloration réalisées par une professionnelle des plus sympathique et ce, pour la modique somme de 50$. Essayez de trouver des prix similaires en ville...

Phase 2 : Opération extension


Je voulais un changement significatif pour marquer cette nouvelle phase de ma vie. Malgré le fait qu’un changement de couleur est toujours marquant, je n'étais pas rassasié. J’en voulais encore plus. Et comme je ne suis toujours pas la poupée que l’on bouge le bras et que les cheveux poussent par magie, je sens que j’ai besoin d’un petit coup de main supplémentaire. Alors, je change de chaise et je passe sous les doigts de fée de Nathalie Gravel. Sans blague, c’est réellement la reine du tressage. Rapide, efficace et en deux temps, trois mouvements j’ai les cheveux long. J’ai donc, trois belles rangés d’extensions cousues, coupées et placées pour seulement 70$ (cheveux non inclus). Hummm! Je sens que je commence à vous donner le goût.

Alors, à vos marques, prêt, partez! Destination Coiffure le Club au 198 rue Notre-Dame à l’Assomption, je vous garantis que le détour en vaut la peine. Ah! Vous commencez à être impatiente et vous voulez voir le résultat final. J'oubliais le plus important: 450-589-0906 pour prendre un rendez-vous et changer de tête!


Et comme toujours, je remercie mon amie Annie de chez SaFi photographie pour cette photo hilarante.

Maintenant, jugez par vous-même si les blondes ont plus de « fun ».